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Moby Dick : la légendaire baleine beuh

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La Moby Dick est une des variétés qui a fait la légende de Dinafem. Puissant hybride à dominante sativa, cette fleur piquante et boisée est un mélange de Jack Herer et de White Widow, qui laisse un goût citrique parmi des vapeurs quasi-psychédéliques.

Histoire de la Moby Dick

Arrivée sur le marché en 2005, la Moby Dick tire ses caractéristiques de bien plus loin, de l’âge d’or de la culture de cannabis en Hollande. Le breeder King Kush, à l’identité préservée, serait à l’origine de la création de cette variété avec l’appui et l’expérience de Doctor OG. Le croisement d’un clone de plus de 15 ans de l’archiconnue White Widow avec un autre illustre clone de Sativa qui compte parmi les plus anciens membres de la collection de mères de Dinafem a produit une des variétés inoubliables en Europe.

King Kush, le breeder de la Moby Dick

La Moby Dick conjugue ainsi les meilleures qualités de ses parents : un grand rendement, une haute résistance aux parasites, une production généreuse de résine et une délicieuse saveur boisée et épicée. Elle s’adapte par ailleurs à presque toutes les régions du globe, à l’exception des zones tropicales et des pays très froids.

Récompenses de la Moby Dick

Sans surprise, la Moby Dick a reçu de nombreuses récompenses. Elle a reçu le titre de “Girl of the Year” en 2010 par le journal spécialisé Soft Secrets, puis a remporté le prix de la meilleure Sativa à la Summer Cup 2011 ou gagné la Coupe d’Argent en Argentine.

Récompense 2010 pour la Moby Dick

La plus belle des récompenses est toutefois la satisfaction qu’en tirent les growers du monde entier. Et son succès peut se mesurer aux nombres de Moby Dick qui existent dans les autres banques de graines, sans lien avec la variété originale de Dinafem. Elle est aujourd’hui distribuée par Silent Seeds.

Variété tout-terrain

L’un des points forts de la Moby Dick est qu’elle profite aussi bien des espaces fermés que de l’extérieur. Elle demande dans les deux cas un substrat de qualité abondant et un apport généreux en eau et en nutriments.

Elle donne en extérieur des plantes qui peuvent atteindre 3 mètres et sortir plus d’un kilo de fleurs séchées avec les bonnes conditions climatiques et le savoir-faire du jardinier, qui devrait déjà avoir quelques runs dans les pattes avant de s’attaquer à la Baleine.

Une Moby Dick cultivée en Espagne

Si l’héritage de la White Widow peut être observé dans la structure et les nœuds qui s’accumulent, ses arômes proviennent assurément de la Haze, avec des odeurs de cèdre, de pin, d’encens et même des touches de poivre. King Kush disait souvent pour la petite anecdote, que son profil aromatique lui rappelle «les bancs en bois comme l’ambiance d’une vieille église ». Son goût mélange des accents citriques et des notes sucrées, Hazy et terreuses qui font de la Moby Dick une variété très savoureuse et authentique.

Attention toutefois à la dégustation. Avec un profil cannabinoïde qui tire vers les 21% de THC, l’expérience peut s’avérer périlleuse pour des poumons de néophytes. Les meilleurs d’entre nous recommandent d’avoir un petit snack à disposition pour anticiper la fringale qui finira inévitablement par arriver.

Pour ceux qui rechercheraient davantage une balade en forêt qu’un Iron Man, Dinafem a développé la Moby Dick CBD avec une plante riche en cannabidiol du CBD Crew. Cette dernière développe un ratio THC:CBD de 1:3, avec 5% de THC et 15% de CBD, trop pour nos lois hexagonales donc, mais qui peut se trouver légalement dans les pays avec un accès autorisé au cannabis pour les adultes. A la clé, un boost mental sans pénombre.

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